dimanche

March photo a day (2).



5 mars : A smile


J'avais vu le magasin Lush à Lille et aussi j'en avais entendu parler sur le grand Internet, et ça y est le magasin a ouvert à Nancy et merci Chritelle de m'avoir passé l'info.
Du coup obligée je fus d'aller y faire un tour, et j'ai acheté un shampooing en galet/savonnette un peu, du gel douche en gelée et du dentifrice en pastille parce que c'était rigolo, et ça sentait bon. Et c'est top-moumouuuute ! Et donc ça me fait sourire, tu saisis le raisonnement ?
Mais sinon y'a plein de gens qui m'ont souri dans la journée, mais j'allais pas leur faire "attends tu peux me le refaire là, que je le mette sur mon blog ?" La dame du Lidl m'aurait trouvée bizarre tu vois.

6 mars : 5PM


Après une dure journée de labeur (j'ai fait le ménage chez mère-grand quoi), à 17h je me suis retrouvée dans le tram pour regagner ma demeure, et même, j'avais une place assise (je suis pas physiologiquement faite pour la position debout). Après j'ai fait du pain perdu, et avec tout ça tu comprends pourquoi je fais plus d'articles sur mon blog ? Il m'arrive RIEN dans la vie (à part le tour du monde du week-end dernier j'veux dire).

7 mars : Something I wore


Aujourd'hui, à un moment, Bonhomme et Bonhommette sont partis en loucedé à la cuisine, mais vu qu'ils sont pas hyper au point niveau décibels, j'ai entendu qu'ils allaient me faire un collier pour me l'offrir parce qu'ils m'aiment bien.
Du coup je suis tombée des nues quand Bonhomme m'a offert une parure collier + bracelet. Le collier était pas fermé alors honte à moi je l'ai oublié sur la table de la cuisine, mais j'ai arboré fièrement le bracelet jusqu'à l'heure de la vaisselle, même s'il est douze fois trop gros pour mon poignet. Ils sont choupis tout de même, quand ils sont pas en train de me dire "c'est pas toi qui décides t'habites pas ici".

8 mars : Window


C'est une maison rue du Maure qui Trompe (qui s'intitule comme ça parce qu'il y avait une taverne à ce nom-là dans la rue, si tu veux tout savoir) dans la vieille ville de Nancy. C'est bien mignon, t'as vu, c'est en forme de coeuuuur ! C'était pour que les messieurs comprennent que derrière ces jolies fenêtres se trouvaient des dames de petite vertu, parce qu'on avait pas le droit de faire de la pub pour les maisons closes. C'est moins mignon d'un coup non ?

9 mars : Red


Vu de ma fenêtre, y'a une grande grue, et c'est un peu le flip quand tu la vois tourner vers toi, on dirait elle va mettre un coup de boule à l'immeuble.
Sinon tu peux remarquer que la couleur du ciel est hyper naturelle, mais j'étais en mode super éclatant et après la grue a bougé et donc la photo aurait pas été aussi cool (cool dans le genre photo de grue, quoi). T'as qu'à te dire qu'à Nancy le ciel est Tchernobylé si tu préfères.

10 mars : Loud


Ça c'est l'atelier pédagogique du musée que j'anime tous les mois dans la joie et l'allégresse. Comme tu vois, y'a foule (ils étaient huit, soit la plus grande affluence depuis octobre, un truc de foufou). Et bon, OK, on dirait pas que y'a du bruit comme ça, mais c'est parce que je les avais appâtés à coup de ciseaux, de colle et de peinture. Par la suite c'est l'heure du goûter, et une fois que le sucre a pénétré dans leurs veines, c'est hyper plus bruyant d'un coup, nom d'un minuscule bonhomme, mais j'ai pas pris de photo à ce moment-là.

11 mars : Someone you talked to today.


Aujourd'hui, j'ai parlé à Pacsinou, à la soeur de Pacsinou, à la mère de Pacsinou et au père de Pacsinou. Mais j'allais pas me pointer avec un sourire d'enfant de coeur, un appareil photo, et sortir à un membre de la famille "j'peux prendre une photo ? Parce qu'on s'est parlé aujourd'hui alors je dois le mettre sur mon blog", ça me semblait un peu psychopathe sur les bords comme approche. J'ai quand même soumis Pacsinou à la mini-séance photo mais finalement la triche s'est insinuée en moi, et c'est une photo qui date de samedi dernier, à Stuttgart, d'où la grande bière.
Depuis ce jour, on peut appeler Pacsinou "l'homme à la tête d'ampoule" ou "Monsieur Soleil" ou n'importe, mais personne le fait pourtant.

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